CAPELLE Marjolaine
Photographe
La jeune fille à la citrouille (série La Serre), 2018, photographie argentique, 50 x 50 cm © Marjolaine Capelle
Cette série de portraits interroge la relation au modèle. Chaque prise de vue instaure une pause dans laquelle le sujet s’abandonne. Le recours à l’argentique et le choix de l’appareil photographique signent un rapport au temps différent de l’instantané. Ces portraits montrent tout mais ne disent rien.
CASSEL Axel
Sculpteur
"Cloud", bronze, 126 x 80 x 35 cm, 2011
Je reste lié à la nature et à la figure humaine, je travaille le bois, la terre, le plâtre et le métal. Les sculptures récentes, toujours entre figuration et abstraction ont recours à la forme difficilement saisissable des volutes de nuages et de fumées
CHA Elsa
Peintre
"Vanité aux cheveux longs", technique mixte sur papier
80 x 120 cm, 2011
Courtesy of Galerie Claude Samuel
Combien de temps? Combien de temps t'ai-je tenu dans mes bras jusqu'à ce que ton corps s'affaisse, que ton souffle s'apaise et brusquement se taise?
Combien de temps es-tu resté debout, dansant au rythme de ton cœur qui bat, avant de faire partie de mes souvenirs pour toujours?
Ton âme bleue joue maintenant à cache-cache, errant parfois sur la surface de mon papier, entre craie grasse et aquarelle...
CHAIX
Plasticien
"Transmission de Pangée", 2017, étiquettes de fruits sur papier, 100 x 70 cm
© Chaix
Légufrulabélosophie. Le pervertissement vertueux d'une kleptomanie jugulée et la pratique compulsive de rituels à caractère oulipien ont donné le jour à la technique chaixienne. Exclusivement constituée d'étiquettes de fruits, que l'artiste escamote chaque jour au rayon frais des supermarchés, cette œuvre singulière intrigue par sa diversité formelle. Révélant en creux l'extraordinaire vitalité du marketing agro-alimentaire, elle impressionne par sa minutie et réjouit par sa gaîté explosive.
CHAMBLAS Nathalie
Photographe
"Métachronie," 2015, photographie argentique contrecollée sur dibond,
120 x 160 cm
© Nathalie Chamblas
Métachronie : du grec Meta, après, au-delà, avec, et Kronos, temps, photo, lumière.
Nous voyons tellement plus que ce qu’il est effectivement possible de voir…
CHANDELIER Pierre
Peintre
"tomates carrées", technique mixte sur toile de lin,
150 x 162 cm, 2012
Chargé de surveillance lors d'épreuves d'examens et de concours, j'ai pris comme matériaux artistiques les brouillons de couleurs abandonnés par les étudiants et jetés à la poubelle. De toute évidence, on leur apprend le pouvoir et la rentabilité sans jamais entrer en relation avec l'autre.
Les brouillons sont marouflés sur des draps, certains dessins glissés dans des pochettes transparentes épinglées au mur.
Je veux dans ma démarche nous interroger sur l'enseignement et son accès à la sensibilisation.
Tout comme « L'art du goût, le goût de l'art », «L'enseignement de la sensibilité, sensibiliser l'enseignement »
CHAUCHAT Jacques
Peintre
"Vive le Tour", 2016, huile sur toile, 162 x 130 cm
© Jacques Chauchat
J’ai peint ce tableau d’imagination. C’est le souvenir d’une route de montagne prise souvent étant enfant sur laquelle m’avait-on dit le Tour était passé. Je l’ai peint de haut comme un démiurge, les humains y sont minuscules, insignifiants, de la poussière d’homme. Mais à y regarder de plus près, on sait que ces taches sont des voitures, des cars de retransmission, des camions à frites. Ces petites choses sont prodigieuses. La poussière qui atteint des sommets.
CHAUDAT Quentin
Plasticien
"sans titre", encre de chine sur papier, 150 x 300 cm, 2014
Mes dessins ne sont ni politiques, ni allégoriques et descriptifs par hasard. Mes petits sujets d'encre et de papier sont libres d'agir comme bon leurs semble sur la ligne de front que je leur trace entre la ligne d'horizon et les lignes de fuites. Mon contrôle ne s'exerce que sur la main qui laisse un filet de noir sur la feuille. Vous êtes libre d'y voir ce que vous voulez je me borne à borner votre regard, à l'attraper dans mon filet patiemment cousu à l'encre, maille après maille.
CHAZAL Cynthia
Plasticien
"La colère, vanita curiosa"
Marqueterie de bois, mixte sur composite
17 cm, 2010
Devenir squelette : inéluctable et universelle métamorphose…
Ce qui nous est le plus intime, le plus caché, est aussi ce qui nous est commun.
Le squelette nous montre tels que déjà nous sommes, mais sans le voir, sans le savoir. Tels que le miroir nous le cache.
Esthétiser le squelette, c’est rendre perceptible une part de notre identité mais aussi lutter contre la mort avec ses propres armes.
CHEN Yi-Chu
Sculpteur
"Quatre Forces", Perles, épingles, mousse, fil, filet, jouets, tissus, éléments électroniques, 60 cm x 60 cm x 120 cm, 2008
Dans cette série de sculpture, j'utilise des couleurs différentes pour deux visages qui représentent deux identités différentes de la même personne. Leurs visages, couverts de perles sont d'une matière brillante et fantastique, d'ailleurs, la forme au-dessus de la tête est aussi une forme surréaliste issue d'un rêve...
Ce que j'ai envie de représenter, c'est la coexistence des identités et des caractères différents chez chacun de nous dans la société d'aujourd'hui.
CHERIEZ Anne
Peintre
"Cuisson, éclipse, assis", encre sur papier, 2010
Ma pratique artistique s’articule autour de différents médiums : Peinture, dessin, video. À travers eux je cherche à révéler la matière propre à chaque médium, et à questionner la notion de limite.
La matière des choses est une série de dessin qui met en parallèle des objets du quotidien et une matière cellulaire, organique. Au lieu d’être des objets tangibles qui rassurent, ceux-ci deviennent des reflets de désir, reflet de vie, passée, présente, ou future.
CHEVALIER Bernard
Photographe
"Place de l’ Opéra", photographie, 60 cm x 80 cm, 2007
En marche, en attente, au travail ou au repos, l'homme de la Ville semble perdu dans un monde où les repères ne font plus sens. Dans ces images qui privilégient le rapport à la frontalité et à l'espace souvent monumental, le piéton, pris comme un passant, paraît écrasé. Où qu'il aille, le paysage urbain l'isole, l'épingle dans son décor comme un figurant anonyme. Non sans humour parfois, ces images de déréliction dessinent un monde en voie de disparition où les vivants rasent les façades, tournent le dos, laissant la ville désertée aux signes qui prolifèrent sur ses murs.
CHO Taik-ho
Peintre
"Printemps", acrylique sur toile, 130 x 195 cm, 2015
L'univers de mon travail vient en grande partie de ma passion pour la nature. Par ces différents parfums, ces différentes couleurs et ces différentes matières. L'inspiration de cette œuvre, est le fruit de mon travail sur la végétation, que j'ai représentée sous une forme de fleur qui m'évoque la nature tel que je la ressens.
CHOI Thoji
Plasticien
"Onirique", Zirconium, 65 x 45 x 50 cm, 2012
Si j'ose exprimer un avis personnel sur la vie, je dirais qu'elle est comme la faim. En effet, à l'image de la faim qui, aussitôt après être assouvie assaille à nouveau notre estomac, une fois nos buts atteints, nous en fixons d'autres dans la vie. Il semblerait que la satisfaction éternelle n'existe pas. La gourmandise, est un de ces petits bonheurs relatif à la nourriture et à ses mille saveurs. C'est justement ce bonheur lié à la nourriture que je voudrais transmettre à travers ma création.
CICHACKI Eric
Photographe
" L' ", tirage argentique, 200 cm x 90 cm, 2006
Depuis quelques années, je vais chercher dans l'intimité des cultures ancestrales, un émerveillement que je n'arrive plus à trouver ici.
COGNET Roland
Sculpteur
" IF ", Ciment moulé, 2m50, 2006
Courtesy of galerie Nathalie Gaillard
Roland cognet exploite l'idée de la duplication et de la représentation de sa scupture. En effet, dans la série "modelage", des segments de troncs d'arbre surmontés de leurs modelages en béton dans des proportions réduites permettent de mettre en évidence le rapport du modèle à sa représentation. La notion de "nature" se trouve toujours questionnée dans son travail.
Depuis, modelages, moulages, sont régulièrement utilisés dans ces oeuvres composites, où viennent se prolongerdes pièces d'arbres travaillées (série des "arbres striés"). Dans certaines sculptures récentes, ce sont des socles en béton modelé qui viennent surélever des trons d'arbres ou blocs de bois, travaillant sur le rapport au sol et conférant à ceux-ci le statut de sculpture.
COGNET Roland
Sculpteur
"le cerf et les formes enneigées", acier, résine et peinture, 265x200x120 cm, 2011
Bien étrange en effet ces sculptures posées dehors ou dedans, elles semblent suivre une destinée temporelle, mais leur présence imposante sourit pourtant d'une ironie dans l'infini périssable de la trace résolument laissée.
Frédéric Bouglé
COMBAS Robert
Peintre
"Le cadavre découvert", technique mixte sur bois, 200 x 100cm
1999
« Des milliers d'années, il était caché, caché ou enterré puisqu'il était décédé découvert. Tous les os mélangés façon puzzle recomposé. C'est un de nos premiers ancêtres à ce qu'il paraît. En tout cas, si il n'avait pas de grosses mains, il a de gros pieds ».
Ce n’est pas parce qu’on dessine ou peint ou filme une tête de mort que c’est une vanité. Je dis ça parce que tout le monde se met à la soit disant "vanité", c’est la mode d’accord mais s’il vous plait un peu d’humilité ! Si vous voulez que votre tête de mort soit vaniteuse, ajoutez-lui un texte accompagnateur qui donnera à “philosopher”. Ou alors créez une image représentant une action nécessitant l’esprit de la vanité mais en innovant doucement. Par exemple un type plonge sous la mer pour pêcher des perles et en guise de collier il se trouve devant une tête d’un mort à 20 ou 30 mètres de fond, entouré de débris d’amphore et de bois de bateau…
COMBAS Robert
Peintre
"Nature morte géante et bleu en sus", acrylique sur toile
282 x 218.5 cm, 2003
Les encyclopédies et les histoires de l'art associent le nom de Robert Combas à la "Figuration Libre". Mais, au-delà de l'étiquette, on peut aussi le voir comme un baroque lyrique, autrement dit : un peintre compagnon de route et de fortune de Dionysos, le dieu des vignes, du vin, de l'ivresse, de la fermentation, de la danse, de la folie, de la transe,
des substances vitales (sang, sperme, sève, lait), des animaux puissants
(taureaux, boucs, béliers), de l'extase, de la végétation luxuriante, de la
musique percussive, mais également l'inventeur de la tragédie et de la comédie,
donc du verbe sculpté. Comme Dionysos, il chevauche le tigre et prend donc
chaque jour le risque de se faire dévorer par son art. Sa peinture est l'une
des plus dionysiaques de l'histoire de la discipline.
Michel Onfray
COMBAS Robert
Peintre
"De la joueuse de tambour...", acrylique sur toile, 257 x 146 cm
2015
« Ma peinture, c'est du Rock », la recherche du feeling.
Le feeling c'est le rythme. « je peins comme je tape ».
COMBAS Robert
Peintre
"La promenade campagnarde", 1986, acrylique sur toile, 140 x 190 cm
© Robert Combas
CAGEOT NORBERT et son cheval Latimer se promènent dans la campagne près de Nevers. En ce moment, ils sont en train de croiser une vache qui louche mais qui fait du bon lait ! Y’a Cossar le porte-fleurs qui fait la grande gueule et au milieu des plantes et arbustes de toutes les senteurs y'a un arbre fait en planches avec des feuilles et des clous. Et j'oubliais le plus important, le Triangulaire rose MARIO dit “Bonjour” de ses deux grosses patasses de mains au cavalier et à sa MONTURE.
COMBAS Robert
Je pleure, je t’aime, 1987, huile sur toile, 190 x 245 cm © Robert Combas
Je pleure, je t'aime. Je t'ai écrit, mais mes mots sont nuls à chier, à la limite banals ou banaux. Pour toi, c'est du chinois, ou ce doit être ? … D'ailleurs, il s'est matérialisé. Il est là à mes pieds, c'est un peu comme mon double. Il est laid, il est con, il est bête, tout petit, il est bas, dans tous les sens du terme. J'espère qu'il n'est pas trop méchant ? Mais pourquoi un Chinois ? Ah oui ! C'est du chinois pour toi ! Je pleure, je t'aime, reviens-moi. Je dépose mon nom à tes pieds. En vérité, c'est une sculpture en stratifié, ma signature, si je la porte, ce sera lourd. Je ferai avec mon chemin de croix, je payerai l'addition, mais non je ne peux pas, mon inconscient lui a inventé des jambes. Je devine ta silhouette derrière la fenêtre. Ton corps de femme fluette harmonise le tableau que font les fenêtres sur la maison. Je pleure, je t'aime, reviens-moi.
COMBAS Robert
"Karma," 2020,
acrylique sur toile, 199 x 213 cm
© Robert Combas, ADAGP Paris 2021
K"arma" le chien sans pattes de devant. Le chien symbole de la vie, d’aidé il devient aideur, exemple. Guidé par des bonnes énergies.
CORENTIN SYLVAIN
Sculpteur
"cathédrale", bois, 180 x 215 x 270 cm, 2015
Mon processus de création relève de ce que j'appelle la destruction constructive, c'est
choisir de se perdre, de travailler d'instinct dans l'improvisation, le jeu.
C'est choisir le chaos, la brisure, plutôt que le discours, l'évidence. Je cherche à ce que
tout m'échappe, que ça s'agite. La blancheur est une fausse réalité, elle est le support sur lequel se dessinent des cartographies, des chemins improbables.
Mes sculptures sont « anarchitectures » et pourtant elles me conduisent à la sérénité.
CORNATON Charlotte
Vidéaste
"Vanités", vidéo, 2009
Vanitas en latin signifie un état de vide, vain. Il s'agit d'un triptyque sur la vanité contemporaine, à savoir vanité du corps, du savoir et vanité morale.
Vanitas utilise la céramique comme élément mobile de la vidéo en stop motion. Un crâne en céramique décomposé en treize pictogrammes est le point de départ de ce projet. La vidéo animant les céramiques en stop motion oppose nouvelles technologies éphémères et traditions. Chacun des éléments du crâne y est "détruit" afin de traduire la fuite du temps.
CRONA Karin
Photographe
IDF en RER, Mareil-Marly, 2016, tirage fine art contrecollé sur dibond, 40 x 56 cm © Karin Crona
Depuis 2014, je parcours la banlieue d’Ile-de-France. Une balade ludique sans autres limites que celles de ma carte Navigo. Errant dans des endroits aléatoires, je cherche à me perdre pour être plus attentive. C’est un rite qui sert à remettre du désir dans des structures urbaines parfois vidées de sens. Le monde utopique n’existe nulle part, mais à travers ces prises de vue je me construis un lieu sans nom où on est libre d’apprécier le présent sans artifice.
CRONA Karin
Photographe
Duckface, 2017, photographie et collage sur papier coton, 29.7 x 21 cm © Karin Crona
Il s'agit de la rencontre entre une série d'autoportraits nus et un lot de magazines féminins – Pénéla, première revue féminine de bibliothèque– trouvé dans une brocante. Publiées entre 1967 et 1969, ces pages montrent le type de société dans laquelle je suis née – à Stockholm en 1968 – et dans laquelle j'ai grandi. L’objectif premier n’est pas de dénoncer, mais d’emmener le spectateur dans une danse sauvage qui provoque la confusion.
CRONA Karin
"Planet of the Bugs" (série Sisterhood of Liberty), 2021, encre de Chine sur papier, 65 x 50 cm
© Karin Crona, ADAGP Paris 2021
Mon univers parle de l’identité féminine et de l’importance d’oser se perdre, parfois dans le surréel et dans l’absurde, dans une nécessité viscérale de retrouver toujours plus de liberté. Je me sers de l’écriture automatique, loin des contingences du réel, pour accéder à mes intuitions les plus profondes. Cette série de dessins à l’encre de Chine évoque un monde singulier, peuplé par des femmes hybrides et des insectes, oscillant entre conte de fée et apocalypse.
Michel CURE
Peintre
Lise, 2016, huile et tempera sur toile, 100 x 85 cm © Michel Cure
Dans la nuit de l’atelier dorment des nymphes alanguies. Je peins des femmes, toujours des femmes. Peindre c’est une façon de les posséder. Je voudrais me glisser sous leur peau pour les aimer davantage. Mon pinceau caresse le duvet doux de leur joue, picote les taches de rousseur, descend le long du cou, remonte vers les lèvres, parcourt l’arête du nez. Je ramasse une mèche folle qui s’échappe. Elles ne s’aperçoivent de rien. Leurs yeux me regardent et je regarde leurs yeux. Je les scrute comme aucun homme ne les regardera jamais ou si peu. En dessin on emploie le terme croquer, je les croque. La peau douce comme les pêches. Le jus qui coule sur le menton...
CYVOCT Colin
Plasticien
"Miam-miam", crayon sur papier et toile cirée,
dimensions variables, 2013
Les représentations stéréotypées des produits présentés dans les catalogues publicitaires que l'on trouve dans les boites à lettres m'ont toujours fasciné par leur splendide médiocrité.
Ces pubs sont si appétissantes et follement réalistes que les jambons, poulets et autres fromages y paraissent plus vrais, beaux et désirables que la vraie et tristounette nourriture que l'on trouve dans les rayons des grandes surfaces.
Voici, présentés sur une belle nappe en toile cirée vichy rouge, quelques savoureux leurres de notre si « alléchante » société de consommation. Miam miam !
CZUJA Aleksandra
Peintre
"Hommage à 3D", encre, acrylique, feutre sur papier, 100 cm x 200 cm, 2008
Le monde contemporain propose aux jeunes gens d'aujourd'hui des substituts très attractifs de la réalité : Internet, jeux vidéo, pubs, vidéoclips...Pour moi en tant que peintre, cette surcharge d'infos visuelles est stimulante pour chercher des solutions picturales de plus en plus attractives, pour que le monde des images, que je propose, intéresse le spectateur, l'intrigue et le réveille à la réflexion sur ce monde, dans lequel nous vivons aujourd'hui.
CZUJA Aleksandra
Peintre
Fallen Angels, 2017, feutre Fineliner sur papier, 24 x 18 cm © Aleksandra Czuja.Courtesy Galerie Jean-Louis Ramand, Aix-en-Provence
« C’est la beauté violente des dessins d’Aleksandra Czuja qui nous arrête. Une beauté qui abrite la fureur contenue de puissances thanatiques. » Mylène Duc